Forte d’un réseau de 77 établissements membres, la CPED recense chaque année de plus en plus d’universités, grandes écoles publiques et COMUE déterminées à faire de la date du 8 mars un moment de rassemblement autour des valeurs d’égalité femmes-hommes et de lutte contre les discriminations et les violences sexistes et sexuelles.Conférences, projections, ateliers, théâtres-forums, expositions… Autant d’événements permettant d’ouvrir le débat auprès de la communauté universitaire.

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C’est bien souvent sur une semaine (« Semaine de l’égalité » à l’Université de Lille ou à l’Université Côte d’Azur par exemple), voire un mois (l’Université d’Angers et son désormais traditionnel « Mois du Genre ») que sont organisés ces programmes fournis de rencontres politiques, artistiques et culturelles sur des thématiques variées.

Valorisation du « matrimoine » local, langage non-sexiste, intersectionnalité, rapport au corps, harcèlement de rue, violences sexistes et sexuelles… Sont ainsi proposées de nombreuses déclinaisons d’événements à partir de thématiques d’actualité, mais aussi partagées par les établissements.On note ainsi que cette année, plusieurs universités ou Comue (Montpellier,Strasbourg, Toulouse 3, Aix-Marseille, Côte d’Azur, Lille) accueillent une projection du film Les Figures de l’Ombre.Sorti en 2016, il relate l’histoire oubliée de ces mathématiciennes afro-américaines ayant permis à leur pays de prendre la tête de la conquête spatiale dans les années 1960. Plus près de nous, c’est aussi l’occasion de mettre en valeur les femmes qui ont façonné l’histoire de ces lieux d’enseignement et de recherche : à l’IMT Atlantique, l’ENSTA Bretagne, l’Université de Lille, l’Université Côte d’Azur, l’Université Lyon 1 ou encore l’Université de La Réunion. Autant de modèles de réussite dont peuvent s’inspirer les étudiantes, mais aussi les élèves du secondaire qui auront la chance de rencontrer des femmes scientifiques, comme à l’Université de Strasbourg ou l’Université Côte d’Azur.

De nombreuses associations étudiantes investissent elles aussi le 8 mars en synergie ou en parallèle de la mission égalité de leur établissement :ateliers d’autodéfense, projections de courts-métrages, tables rondes, mur d’expression contre le harcèlement de rue, émissions de radio, festivals,stands de prévention (Le Mans, Lille, Strasbourg…). Associations étudiantes,mais aussi institutions locales se mobilisent aux côtés de l’université. À Angers par exemple, le Mois du Genre est soutenu par la ville et s’étend hors les murs, propageant ses actions de sensibilisation au-delà du campus !

Ci-dessous, un panorama extensif (bien que non exhaustif !) des établissements mobilisés…

Consulter notre tableau de synthèse des actions portées par les établissements

AIX-MARSEILLE UNIVERSITÉ

UNIVERSITÉ D’ANGERS

IMT ATLANTIQUE

UNIVERSITÉ DE BORDEAUX

ENSTA BRETAGNE

UNIVERSITÉ DE BRETAGNE OCCIDENTALE

UNIVERSITÉ BRETAGNE SUD

UNIVERSITÉ CLERMONT AUVERGNE

UNIVERSITÉ CÔTE D’AZUR

UNIVERSITÉ DE HAUTE ALSACE

UNIVERSITÉ DE LILLE

UNIVERSITÉ DU LITTORAL CÔTE D’OPALE

UNIVERSITÉ DE LORRAINE

UNIVERSITÉ CLAUDE BERNARD LYON 1

INSA LYON

UNIVERSITÉ LYON 3

UNIVERSITÉ DU MANS

UNIVERSITÉ DE MONTPELLIER

UNIVERSITÉ DE NANTES

UNIVERSITÉ PARIS DIDEROT

UNIVERSITÉ PARIS NANTERRE

ENS RENNES

UNIVERSITÉ DE RENNES 1

UNIVERSITÉ DE LA RÉUNION

UNIVERSITÉ SAVOIE MONT BLANC

SCIENCES PO

SORBONNE UNIVERSITÉ

UNIVERSITÉ DE STRASBOURG

UNIVERSITÉ TOULOUSE 2 – JEAN JAURÈS

UNIVERSITÉ TOULOUSE 3 – PAUL SABATIER

MINISTÈRE DE L’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR, DE LA RECHERCHE ET DE L’INNOVATION